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K A L C I O M A R C I O! - Lo Schifo Continua -

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IL SECOLO XIX 07-07-2014

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Devo proprio sperare che le fonti di O.Kay siano nuovamente disilluse (ved. cazzare).

Non è possibile!

mi meraviglio che ci sia chi si meraviglia cit

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mi meraviglio che ci sia chi si meraviglia cit

Che sia megalomane nessuno lo mette in dubbio, ma una campagna pro Nobel per la pace è fuori da ogni logica

Piuttosto si dovrebbe istituire un Tribunale Internazionale in riferimento ai malaffari della FIFA

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obama

gran casinista

mette sempre nei guai tutta l'europa

premio nobel per la pace

lo hai capito ??

io no

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«Le seul argent que j’ai reçu a été celui de la FIFA»

BYRON MORENO, l’arbitre équatorien accusé d’avoir fait gagner la Corée du Sud contre l’Italie en 2002,

s’en défend vigoureusement. Mais ce match n’est qu’une péripétie dans une vie qui a fini par déraper.

QUAND ON VOUS COLLE AUTOUR DES CUISSES ET DU VENTRE, AVEC DE L’ADHÉSIF, DES SACHETS PLASTIQUES, VOUS SAVEZ VITE QUE CE N’EST PAS DU SUCRE EN POUDRE...

UN PORTORICAIN EST VENU ME RACONTER QUE SON PÈRE AVAIT PARIÉ SUR UNE VICTOIRE DE L’ITALIE, ET AVAIT MISÉ DEUX DE SES PROPRIÉTÉS, DES MAISONS ET DES VOITURES ET QU’IL S’ÉTAIT SUICIDÉ PAR MA FAUTE

par GUY ROGER (L'EQUIPE 08-07-2014)

«Vous avez été l’arbitre le plus célèbre de la Coupe du monde 2002 pour avoir notamment expulsé Francesco Totti et refusé un but à l’Italie (voir ci-dessus), éliminée par la Corée du Sud en huitièmes de finale (1-2, b.e.o.). Combien de fois avez-vous revu ces actions?

Dans toutes les émissions de télévision où j’ai été invité. Je les connais par coeur. Et douze ans après, je n’ai pas changé d’avis. Totti a simulé un contact avec un joueur sud-coréen et s’est laissé tomber. Sur les deux hors-jeu (un seul en fait), je n’ai fait que suivre la décision de mon juge de ligne.

Le sélectionneur italien, Giovanni Trapattoni, et ses joueurs ont parlé de conspiration. Avez-vous été le bras armé de leur élimination?

En aucune manière. Après que son équipe a marqué, Trapattoni a joué le 1-0 et a sorti Alessandro Del Piero, le seul à créer du danger, pour faire entrer un milieu défensif (Gattuso, 61e). Je suis convaincu qu’il a orchestré la campagne de dénigrement pour fuir ses responsabilités. Si quelqu’un a conspiré, c’est Trapattoni.

Aviez-vous reçu des pressions avant ce match?

Ceux qui ont insinué ces accusations se sont basés sur monâge, trente-deux ans à l’époque. Ça faisait peut-être de moi un débutant mais pas un voleur.

Pour dire les choses autrement, avez-vous touché?

(Silence.) Pardon? Touché quoi?

De l’argent.

Non, rien, je le jure. Le seul argent que j’ai reçu a été celui de la FIFA.

Combien d’argent vous a rapporté ce Mondial?

22500 dollars (16550 € actuels), mon salaire en qualité d’arbitre central.

Un journaliste japonais, Takashi Myjama, vous a pourtant accusé, dans son magazine (Shukan Bunshun), d’enrichissement illicite. Il affirmait avoir des preuves…

(Il coupe.) La FIFA a ouvert une enquête pour savoir s’il y avait eu subornation. Ses inspecteurs n’ont pas trouvé le moindre indice et ont admis mon innocence.

Fin 2002, sur le plateau de la RAI, vous avez participé à des émissions de télé-réalité. N’avez-vous pas été tenté de rencontrer Totti ou Trapattoni?

J’en avais fait la demande. Aucun des deux n’a accepté. Je les comprends, ils n’auraient pas pu justifier une seule de leurs accusations.

D’où provient votre surnom “el Justiciero” (“le Justicier”)?

Ça remonte à mes débuts dans le football professionnel, en 1993. En Équateur, dans le Championnat de Première Division, je sortais en moyenne 2,5 cartons rouges par match. Le règlement, c’est le règlement.

Peu de temps après ce Mondial, vous avez arbitré un match de Championnat en Équateur (Liga de Quito-Barcelona) et vous avez laissé jouer treize minutes de temps additionnel. Pourquoi?

En seconde période, le temps de jeu effectif avait été de 10’38’’. Or le règlement stipule que l’arbitre a le devoir de récupérer le temps perdu comme il l’estime nécessaire. J’avais donné six minutes en plus, mais il y a eu encore de nombreux incidents et arrêts de jeu de la part des joueurs de Barcelona. À chaque fois, j’arrêtais le chrono. Mais ils étaient prévenus. Ils ont fini par encaisser deux buts dans le temps additionnel et ils ont perdu le match.

La Fédération équatorienne n’a pas été de votre avis et vous a infligé une suspension de vingt matches. Était-ce exagéré?

Vingt matches qu’elle a ramené à seize plus tard. Sur quoi a-t-elle statué ? Sur mon rapport. Et dans ce rapport, je n’ai fait qu’appliquer le règlement de notre Fédération où il est dit qu’un arbitre doit tout concentrer dans les 90 minutes d’un match. Les buts du temps additionnel, survenus à la 100e et 102e, je les ai donc inscrits à la 88e et 90e. La commission de discipline de l’arbitrage m’a accusé de tricherie au motif qu’en ma qualité d’arbitre FIFA, j’aurais dû appliquer le règlement international et mentionner les buts marqués en temps réel. En réalité, je dérangeais. Des années plus tard, à la télévision, l’ancien président de Barcelona a reconnu que j’avais été victime d’une chasse aux sorcières.

Qu’est-ce qui vous a pris, le jour de votre retour au sifflet, en mars 2003, dans un match de Championnat, de sortir quatre cartons rouges?

J’ai fait monboulot. Une agression du gardien sur un joueur, insultes au juge de touche et deux cartons jaunes du même joueur, ça fait bien trois rouges pour le Deportivo Quito. Son adversaire, Cuenca, en a reçu un autre. Bizarrement, mon rapport n’est pas arrivé à temps. La Fédération m’a suspendu à nouveau avant d’étudier les faits que j’avais mentionnés. C’était encore prémédité, on voulait m’achever. J’ai officié une fois de plus, mais ma décision était prise. Le 23 mars 2003, j’ai convoqué la presse. J’ai eu droit à tous les journalistes du pays et je leur ai annoncé mon retrait officiel de l’arbitrage.

Cet échec vous a-t-il fait regretter de ne pas être resté dans le cabinet d’avocats de votre père où vous aviez commencé à travailler?

J’intervenais sur certains dossiers, mais il me restait encore un an d’études à la faculté de droit avant de pouvoir plaider et j’étais déjà arbitre. D’une certaine manière, l’arbitre est aussi un homme de loi, il répartit la justice dans le football. J’aimais réellement ce métier. Si je renaissais, je recommencerais à faire l’arbitre.

Loin de l’arbitrage, comment avez-vous organisé votre nouvelle vie professionnelle?

J’ai ouvert une académie d’arbitres, à Quito. Elle a fonctionné jusqu’en décembre 2009. Tous ceux que j’ai formés sont aujourd’hui arbitres professionnels de Première Division, certains sont même internationaux. Cette activité m’a aidé à surmonter la mort de monfils, le 14 décembre 2005. Il était né avec une malformation cardiaque. C’est aussi l’époque oùj’ai commencéà participer à des émissions de radio et de télévision. En mars 2007, je suis devenu salarié de Sonorama, la radio la plus importante d’Équateur.

Et soudain, vous craquez. Le 20 septembre 2010, vous êtes arrêté à l’aéroport Kennedy de New York pour trafic de drogue. On est très loin de l’image de l’arbitre incorruptible que vous défendez. Qu’est-ce qui vous a pris?

C’est la plus grande erreur de ma vie. Une vraie folie. J’étais au fond du trou, économiquement, quand j’ai dû faire face à un cas de force majeure. Ma fiancée de l’époque, enceinte, a perdu son bébé et il a fallu l’opérer de toute urgence pour lui sauver la vie. J’étais incapable de payer les frais de clinique. J’ai commencé à chercher qui pourrait me prêter un peu d’argent. Ceux qui ont fini par me dépanner m’ont collé un taux d’intérêt à 25%, le tout remboursable en deux mois. Naïvement, je mesuis dit que c’était un bon négoce. Il y a beaucoup de petits prêteurs d’argent comme cela en Équateur.

Combien avez-vous emprunté?

2500 dollars (environ 1840 €). Au bout de deux mois, j’en avais réuni la moitié. J’ai voulu rembourser une partie, mais ils ont refusé. C’était tout ou rien et si je ne pouvais pas, il fallait que je leur rende un service. Et là, j’ai compris.

Que vous étiez tombé dans un piège?

Au départ, j’ai eu quelques doutes, j’imaginais qu’ils trafiquaient, mais jamais qu’ils medemanderaient de passer un colis aux États-Unis. J’ai tenté de négocier, mais ils n’ont rien voulu savoir. La règle était : «Ou tu y vas ou on tue ta fiancée.»

Et ce colis alors?

Je ne savais pas ce que j’aurais à transporter, mais quand on vous colle autour des cuisses et du ventre, avec de l’adhésif, des sachets plastiques, vous savez vite que ce n’est pas du sucre en poudre. En prison, en parlant avec d’autres détenus, j’ai compris que j’avais été vendu dès le départ. Le juge l’a mentionné dans son rapport. Il savait à quelle heure je partais de Guayaquil, ce que je transportais et combien.

Quand avez-vous su ce qu’il y avait dans ces sacs?

Après mon arrestation. C’était de l’héroïne. Plus de six kilos...

Au passage de la douane, à Guayaquil, les fonctionnaires équatoriens n’ont rien décelé?

Les gens de la douane et du service de sécurité étaient payés. Les autres m’avaient dit que tout serait arrangé, que je passerais sans problème et je suis passé sans être inquiété.

Comment avez-vous fait, la nuit d’avant, pour dominer la peur?

Je n’ai pas fermé l’oeil. Je voulais fuir. Mais ils savaient tout de ma vie. Pour bien me faire comprendre que j e n’avais pas intérêt à m’échapper, ils m’ont dit qu’ils me poursuivraient jusqu’au bout du mondes’il le fallait, qu’ils me retrouveraient et me puniraient. Dans l’avion, à plusieurs reprises, je me suis levé pour aller aux toilettes. Je voulais tout vider dans la cuvette. Il m’a juste manqué du courage.

Racontez-nous votre arrivée à l’aéroport de New York.

L’officier des stups qui m’a arrêté m’a dit que, sur information confidentielle, il était prévenu de mon arrivée depuis deux jours. Quand ils m’ont amené, d’une certaine façon, je me suis senti soulagé.

Comment avez-vous vécu votre séjour en prison?

J’ai beaucoup appris de ma propre déchéance. J’ai d’abord fait une terrible dépression. J’ai été enfermé à Brooklyn, une prison de haute sécurité. On m’a expliqué que l’héroïne ne se passait pas par plus de un kilo et moi, j’en transportais six kilos. J’ai servi d’appât. La “mula” (passeur) qu’on envoie au sacrifice et qu’on balance. D’ailleurs, “l’héro” que j’avais sur moi n’était même pas pure.

Que recherchaient-ils en vous dénonçant?

Celui qui balance une “mula” peut bénéficier d’une réduction de peine de cinq ans. Je n’ai jamais su qui en avait bénéficié. Au total, j’ai fait deux ans, deux mois et douze jours de détention.

En prison, vous a-t-on reparlé de cet Italie-Corée du Sud?

Oui, forcément. J’étais avec des Colombiens, des Mexicains, des Guatémaltèques qui connaissaient bien le football. Un jour, j’ai appris qu’une bande de la mafia italienne de New York avait été arrêtée. J’ai eu leur chef dans ma cellule. On a reparlé bien sûr d’Italie-Corée du Sud. Mais le foot, il suivait ça de très loin. Une autre fois, un Portoricain est venu me raconter que son père avait parié sur une victoire de l’Italie, et avait misé deux de ses propriétés, des maisons et des voitures et qu’il s’était suicidé par ma faute.

Comment avez-vous occupé votre temps libre?

J’ai étudié les énergies alternatives, beaucoup lu et surtout on m’a permis d’organiser à Brooklyn un miniChampionnat de foot. J’ai mêmedonné des cours d’arbitrage.

Le retour à la vie normale a-t-il été une nouvelle épreuve?

Peu de temps après mon retour à Guayaquil, le directeur général de Sonorama, la radio où j’avais déjà travaillé, m’a appelé pour une interview exclusive. Il voulait que je lui raconte mon expérience en prison. Et, tout à coup, au milieu du direct, il m’a lancé : “Byron, je veux que tu reviennes à la radio.” Moi, surpris: “Mais quand ?” Et il m’a dit : “Aujourd’hui même.” Voilà comment, le 1er février 2013, je suis né une deuxième fois.

Plus de vingt ans après vos débuts comme arbitre professionnel, n’avez-vous pas l’impression de n’avoir jamais coupé le cordon?

L’arbitrage est toute ma vie. Après l’académie pour les futurs arbitres, à Quito, qui a fonctionné pendant sept ans (2003-2009), je suis sur le point d’en créer une nouvelle, mais pour les jeunes, ici, à Guayaquil. On doit leur donner un cadre réglementaire, les éduquer. J’espère pouvoir l’ouvrir bientôt.

Comment les gens vous perçoivent-ils aujourd’hui?

Quand je suis sorti de prison, mes parents voulaient que j’aille vivre avec eux aux États-Unis. J’ai dit non, je dois retourner dans mon pays. Je veux raconter la vérité, je ne dois pas baisser la tête, ne pas laisser la rumeur me salir davantage. Autour de moi, je n’ai rencontré que soutien et solidarité. Dans la rue, les gens me prennent même en photo.

Quand vous vous regardez dans la glace le matin, que pensez-vous de Byron Moreno?

Qu’il a de la chance de pouvoir respirer l’air de la liberté… Et qu’il ne fera plus de conneries.»

Au micro, un expert

Désormais journaliste, Byron Moreno, aujourd’hui âgé de quarantequatre ans, n’a pas sollicité d’accréditation pour la Coupe du monde au Brésil. Il ne se déplace plus. Il suit les principaux événements du ballon rond en studio, à Guayaquil, sa nouvelle résidence depuis son passage par la case prison aux États-Unis, en 2010. Dans le paysage audiovisuel, en Équateur, Moreno s’est taillé en peu de temps une solide réputation. Sur l’antenne de Sonorama, une importante radio du pays, son expertise arbitrale fait autorité. À l’antenne de Canal Uno, il suit et commente les matches avec un panel de journalistes et chacun apporte son point de vue. Une formule très à la mode en Amérique du Sud. Il explique : «À la mijournée, au micro, on déroule l’actualité, les transferts, les matches du week-end. C’est le programme le plus écouté du pays. En soirée, on commente les matches. En ce moment, c’est le Mondial, mais en temps normal on retransmet aussi bien la Libertadores (équivalent sudaméricain de la C 1) que notre Championnat. J’interviens quand surgissent des polémiques arbitrales ou des actions litigieuses.»

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obama

gran casinista

mette sempre nei guai tutta l'europa

premio nobel per la pace

lo hai capito ??

io no

Ok, anche lì siamo a livelli altissimi d'ipocrisia: è stata premiata la "potenza" degli USA nei rapporti diplomatici

Per la FIFA cosa dovrebbero premiare? L'ipotetica diplomazia (o meglio, mafia) del pallone?

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Byron Moreno @@ @@ @@....idolo!

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Adidas ready to sign £750m ten-year

kit deal with Manchester United

by JAMES DUCKER (THE TIMES 09-07-2014)

Adidas is in pole position to become Manchester United’s new kit supplier after Nike pulled the plug on negotiations yesterday over the club’s huge financial demands.

The American sportswear giant confirmed in a statement last night that it would not be renewing its sponsorship deal with the Barclays Premier League club when the present 13-year contract expires at the end of next season.

Nike’s relations with United have become strained during protracted talks over the past 18 months, in which the American company felt that the club were demanding too much money for their global retail. Nike’s withdrawal paves the way for adidas to join forces with United from the 2015-16 season, although it remains to be seen if it weakens the club’s negotiating position with the German firm as few other competitors can rival its financial might. Puma, Warrior and Uniqlo, the Japanese fashion retailer, have also held talks with the club.

United are thought to have been optimistic about striking a ten-year deal worth in the region of £750 million in what would be by far the biggest kit contract in sporting history, but Nike was unprepared to meet such a price.

In a statement, Nike — which signed a £303 million deal with United in 2002 — said: “Any partnership with a club or federation has to be mutually beneficial, and the terms that were on offer for a renewed contract did not represent good value for Nike’s shareholders. We look forward to a successful final season with the club.”

750 milioni di sterline in 10 anni. Pura vida!

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Blatter’s nephew faces questioning

over World Cup tickets scandal

by JAMES HIDER & DAVID BROWN (THE TIMES 09-07-2014)

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Philippe Blatter is chief executive of Infront Sports & Media

A nephew of the Fifa chief Sepp Blatter faces police questioning over an alleged World Cup ticket tout ring linked to a British sports hospitality company.

A British executive was released on bail in Rio de Janeiro yesterday after being accused of helping to mastermind a multi-million black market ticket operation which police believe could have been operating since the 2002 World Cup.

Ray Whelan works for the Match group of companies, the Swiss subsidiary of Byrom PLC, which is based in Cheadle, Cheshire.

Match Hospitality is the exclusive hospitality provider for football’s world governing body and for the Ryder Cup at Gleneagles in September. The company paid a reported $120 million for exclusive rights to sell more than 400,000 corporate hospitality packages for the Brazil World Cup. It has also won the exclusive rights to the 2018 and 2022 tournaments.

Mr Whelan, 64, was arrested on Monday, days after police seized 11 other suspects in a ring that allegedly netted as much as $100 million in the illegal re-sale of corporate hospitality tickets at massive mark-ups.

Police described Mr Whelan as the “facilitator” who allowed a large ring of touts to have access to tickets. It is unlawful to sell World Cup tickets in Brazil for more than their face value.

Investigators claim that Mr Whelan provided companies involved in touting with VIP tickets meant for sponsors, non-governmental organisations and the relatives of players. His lawyer described the arrest as “illegal and absurd”.

A judge in Rio yesterday ordered Mr Whelan’s release on bail but police said they would seek his re-arrest after he allegedly failed to respond to a summons to answer further questions. Inspector Fabio Barucke of Rio police said the ticket tout ring used three travel agencies in the city to resell tickets, earning an estimated $500,000 (£292,000) per game.

Police warned last night that officers could seek to question Philippe Blatter, the nephew of the Fifa president.

Philippe Blatter is chief executive of Infront Sports & Media, which owns a five per cent stake in Match Hospitality. Infront’s subsidiary, Host Broadcast Services, also has the World Cup television production contract from Fifa.

Inspector Baruck said last night: “We cannot rule out the possibility of calling Philippe Blatter for questioning.”

Infront said in a statement: “Philippe Blatter does not hold any position with Match Hospitality. Infront is fully supporting Match Hospitality in collaborating with the local authorities investigating the matter.”

Match said yesterday that it has complete confidence in Mr Whelan’s innocence and that he would continue to work on its World Cup operations.

Mr Whelan, the former agent of Sir Bobby Charlton, the former England and Manchester United footballer, was arrested at Rio’s Copacabana Palace where the senior Fifa executives are staying. Police said 82 World Cup tickets were taken from his room.

The investigation has further sullied the reputation of world football’s governing body, which was already facing allegations of bribery surrounding Qatar’s successful bid to host the 2022 World Cup. Fifa said Mr Whelan was involved in Match’s accommodation arm, not ticketing or hospitality.

Delia Fischer, head of media for the world governing body, said: “He is a suspect but we need to see what exactly is the reason, where the tickets are coming from and what they were used for.”

Police last week arrested Mohamadou Lamine Fofanawho owns Atlanta Sportif Management, one of Match Hospitality’s customers.

Match Hospitality said it has cancelled the tickets bought by Atlanta Sportif for the semi-finals and the final.

It also said it would cancel the remaining tickets of three other companies based in India, South Africa and the United States, whose names appeared in other tickets seized by police unless they cooperate with the probe.

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Il Sole 24ORE 09-07-2014

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Inviato (modificato)
UN SISTEMA DA RIFARE

di ALIGI PONTANI (la Repubblica 09-07-2014)

L’uscita fragorosa di Andrea Agnelli è molto più di un segnale di insofferenza del giovane dirigente contro il vecchio sistema: è piuttosto l’apertura formale di una crisi nella crisi, una sassata sulla superficie vetrata del palazzo del potere, al cui interno gli uomini di apparato lavoravano alacremente al puntellamento delle posizioni di rendita acquisite. Non c’è nulla di eroico nelle parole del presidente della Juventus, che ha naturalmente a cuore soltanto gli interessi del suo club. Ma Agnelli, che viene da tre scudetti consecutivi, sa che regnare su un territorio in rovina può diventare paradossalmente frustrante, per chi ambisce a confrontarsi con il mondo. E il giardinetto del calcio italiano, devastato dall’incuria, difficilmente potrà permettere alla sua Juve di tornare a competere alla pari con le super squadre europee.

Per questo, non per altro, Agnelli ha deciso di uscire allo scoperto, come aveva fatto Barbara Berlusconi, la prima a porre il problema del ricambio generazionale per i dirigenti del calcio. Li accomuna, al netto dei toni più o meno duri usati, una banale domanda: che idea c’è per far ripartire il calcio? Vogliamo parlare di questo o semplicemente contare tessere, voti, padrini più o meno potenti? Vogliamo guardare in faccia la realtà di un fallimento sportivo, economico, morale o scannarci per una poltrona da vicepresidente, dall’alto della quale non decidere mai nulla? Agnelli e Barbara, quest’ultima ancora in palese contrasto con Galliani, hanno rotto il silenzio. Forse domani toccherà a qualcun altro: Napoli, Roma e Fiorentina certamente condividono l’esigenza della svolta, i medi e piccoli club non sono più tanto compatti nel seguire le indicazioni di Lotito e Galliani (col tacito assenso dell’Inter di Thohir), già artefici della rielezione di Beretta alla guida della Lega di serie A e ora sponsor di Tavecchio. Insomma, la crepa che si è aperta è abbastanza profonda da far pensare a una possibile alternativa. Che sia Albertini, Cannavaro, Vialli, i tre nomi fatti da Agnelli, resta tutto da vedere. C’è ancora l’ipotesi, in caso di stallo, che si arrivi a un commissario, come ricordato non a caso dal presidente del Coni, Malagò: significherebbe poter rifare le regole, depotenziare le lobby, riportare a misura lo strapotere di alcune componenti della Figc. E soprattutto lavorare sui progetti, studiare i modelli che funzionano, ricambiare i dirigenti, magari eliminando la demagogia sui compensi, che devono essere adeguati a capacità e risultati. La strada per fare tutto questo è ancora lunghissima, e il tempo molto poco. Ma chissà che il rumore della giornata di ieri non arrivi anche ad altri palazzi, finora silenziosi. Quelli della politica, che la sua parte, in un modo o nell'altro, dovrà farla, prima o poi. Sarebbe meglio prima.

FEDERAZIONE E RIFORMA DEL CALCIO

CHI SEGUE AGNELLI IL ROTTAMATORE?

di ANDREA MONTI (GASPORT 09-07-2014)

La morale della favola disegna perfettamente il paradosso del calcio italiano: in un mondo di lupi e di volpi tocca a un Agnelli fare la voce grossa. Che la dea Eupalla gliene renda merito! Meno di una settimana fa, di fronte al disastro brasiliano e alla prospettiva che a raddrizzare la baracca fosse il premiato trio Tavecchio- Macalli-Lotito, la giornalaccio rosa ha lanciato un appello: se c’è qualcuno nell’empireo della pedata che voglia spendersi per un reale rinnovamento delle istituzioni e dei costumi, batta un colpo. E in fretta. Perché a metà agosto, complice uno statuto scellerato, i giochi in Figc saranno fatti secondo le consuete liturgie. Bene, ieri il colpo è arrivato col fragore di una cannonata. Senza mezze parole, in un’aula del Parlamento, il presidente della Juventus ha detto che Abete ha disertato nell’ora del bisogno. Che Tavecchio, proprio nel giorno in cui ha formalizzato la sua discesa in campo, è «inadeguato». E che non servono pontieri ma riforme subito. Non pago, ha aggiunto che il candidato ideale potrebbe essere un ex calciatore di vaglia supportato da un’adeguata squadra manageriale.

Insomma, Agnelli il rottamatore... Il parallelo con Renzi potrebbe starci: in fondo sono nati nello stesso anno, il 1975. E proprio nel 2010, mentre il primo assumeva la guida della squadra più popolare d’Italia rinnovandola nel profondo, il secondo riuniva per la prima volta il suo manipolo di innovatori alla Leopolda. Vite e risultati paralleli: l’uno vince tre scudetti ma prende batoste in Europa, l’altro conquista Palazzo Chigi ma deve guardarsi quotidianamente dalle tarellate dei tedeschi. Ce la faranno? Come sempre, lo scopriremo solo vivendo ma certo la dottrina Agnelli come quella di Renzi un pregio, anzi un fascino, ce l’ha. Traccia una strada alternativa e chiara. Propone riforme non solo condivisibili ma inderogabili. E soprattutto, parla alla nuora – la Figc – perché la sua grande e rissosa famiglia intenda: la rivoluzione che propone non può che partire dai presidenti della serie A, dalla Lega che li rappresenta, da una governance moderna per un’azienda di cui, alla fine, siamo azionisti noi tutti.

Si dice che Agnelli sia intervenuto avendo in testa un nome e un cognome: quello di Demetrio Albertini, candidato di indubbio prestigio e di ottima presenza. Il suo discorso, per la verità, si allarga a una generazione che comprende una squadra intera di campioni assai rappresentativi da Vialli a Maldini fino a Cannavaro (il riferimento al ruolo di Platini in Uefa e di Rummenigge in Eca è stato esplicito). Per quanto riguarda Albertini una cosa è certa: non pare disposto a ingaggiare una battaglia all’ultimo voto che dividerebbe le componenti della Federazione e, semmai fosse vinta, lo condannerebbe a una presidenza senza investitura forte e quindi priva di reali poteri riformatori.

In realtà, la domanda del giorno è quella che Stalin fece a proposito del Papa: di quante divisioni dispone il presidente della Juve? Sulla carta, poche. Carlo Tavecchio ha in mano i dilettanti, una parte consistente della Lega Pro e, allo stato, la maggioranza relativa dei presidenti di A riuniti per amore o convenienza attorno alla strana coppia Galliani-Lotito. Lady Barbara parla a titolo personale. E Abodi, presidente della Lega di B, è sotto schiaffo: dalla sorella maggiore prende 55 milioni all’anno in cambio di una sostanziale coerenza politica. L’unica speranza è che nei prossimi giorni altri si facciano avanti e parlino apertamente come ha fatto Agnelli. Escluso il presidente del Coni che ha le mani legate e che potrebbe intervenire solo nel caso di paralisi assembleare, occorrono voci autorevoli e un movimento d’opinione capace di indurre il cambiamento. O, alla peggio, di convincere il settantunenne Tavecchio (che dal punto di vista personale e dei risultati, vogliamo ripeterlo, non è il diavolo) se non a desistere, almeno a circondarsi di manager all’altezza. Coraggio, siamo ai rigori e la vittoria è tutt’altro che garantita. Se qualcuno se la sente, metta la palla sul dischetto e tiri.

Nasce l’asse Agnelli-Berlusconi

Ma vale soltanto nel calcio

di GIUSEPPE DE BELLIS (Il Giornale 09-07-2014)

Tavecchio chi? Agnelli e Berlusconi sono alleati, adesso. Senza volerlo, o forse sì. Senza dirselo, o forse sì. Le macerie del pallone italiano consegnano a se stesse un asse tra due famiglie che prima si sopportavano. Non è la prima volta, ma è una cosa nuova comunque perché era molto tempo che non accadeva. Carlo Tavecchio e la sua candidatura alla presidenza della Federazione italiana giuoco calcio sono riusciti a mettere d’accordo due mondi quasi opposti. «Servono idee, non logiche delle tessere e da Dc della Prima Repubblica. Ci vogliono persone nuove», ha detto da Milano Barbara Berlusconi. Quindi non Tavecchio che non è né giovane, né tantomeno nuovo, visto che nel pallone vive da sempre. Agnelli da Roma c’ha messo il carico: «Gli altri hanno Rummenigge e Platini. La gente riconosce loro autorevolezza immediata. Fatico a pensare che lo stesso trattamento possa essere riconosciuto a Tavecchio. Non serve un traghettatore, ma un riformista che ci porti in un’altra dimensione ».

Vogliono la stessa cosa, Agnelli e Berlusconi. Vogliono probabilmente anche la stessa persona:Demetrio Albertini, candidato non ufficiale della dirigenza giovane del calcio italiano. Vogliono entrambi, e non sono i soli, qualcuno che azzeri, spiani, asfalti il potere del calcio italiano degli ultimi decenni e poi ricostruisca tutto. Vogliono qualcuno più vicino a loro, anagraficamente e filosoficamente. Vedono entrambi in un ex calciatore giovane la possibilità di avere un volto riconoscibile e credibile. Qualcuno che all’estero faccia pensare all’Italia come a un Paese in grado di rinnovarsi. Ciò che un tecnico di palazzo non potrebbe mai fare. Non dicono mai rottamare, ma è quello che pensano. Vogliono che ciò che non è stato fatto finora si faccia adesso. Siamo al punto più basso del nostro sistema pallonaro da quarant’anni a questa parte: è il momento giusto, semplicemente. È una battaglia difficile la loro, sono minoranza nel mondo del calcio.

Hanno un’idea di futuro che parte probabilmente da presupposti diversi per giungere alla stessa conclusione: un pallone che diventi un sistema aziendale, un modello di business sostenibile. Esistono gli esempi all’estero. L’alleanza è strana, perché Agnelli e Berlusconi sono sempre stati due Italie diverse. E però il calcio è stato l’unico terreno dove trovare intese. In passato accadeva attraverso i manager, sul mercato e in Lega. Poi il caso Calciopoli le ha allontanate e il celebre gol-non gol di Muntari ha interrotto i rapporti. Tavecchio ricuce, suo malgrado. Il nemico del mio nemico è mio amico era quello che speravano i burocrati della Federazione, convinti che le logiche del Novecento non possano passare mai. Invece possono passare. Invece passano.

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GASPORT 09-07-2014

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MARCA 09-07-2014

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IL MATTINO 09-07-2014

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che uomo di *****, spero che Conte un giorno lo trovi da solo e gli spacchi la faccia!

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Palazzo di vetro di RUGGIERO PALOMBO (GASPORT 12-07-2014)

Calcio, 4 proposte per voltare

pagina: contano più dei nomi

Premessa: Andrea Agnelli è il più grande dirigente che il calcio italiano sia stato capace di produrre negli ultimi anni. Dal nuovo stadio della Juventus, «creatura» del suo mentore Antonio Giraudo (senza Calciopoli un dirigente coi fiocchi) in giù, non ha sbagliato nulla. Battendosi sempre, e in Lega troppo spesso invano, per un calcio italiano migliore. Detto questo, tra le tante affermazioni condivisibili di questi ultimi giorni ce ne sono un paio che ci piace tuttavia mettere in discussione. Cannavaro, Vialli, Costacurta nomi buoni per la presidenza della Federcalcio nella scia di due grandi interpreti internazionali come Platini e Rummenigge? Non sono ancora arrivate le querele da parte del presidente dell’Uefa e di quello dell’Eca (l’associazione dei club europei) e di questo li ringraziamo. La suggestione dell’ex grande calciatore è bellissima ma deve poggiare su basi solide: Platini ha iniziato il suo percorso da dirigente nel ‘92, partecipando all’organizzazione dei mondiali di Francia 1998, è diventato vicepresidente della federazione francese nel 2001 e presidente dell’Uefa nel 2007, dopo quindici anni di gavetta. Percorso quasi analogo per Rummenigge che alla dirigenza del Bayern, al fianco di Beckenbauer, ci sta dal 1991 e a presiedere l’Eca ci è finito nel 2008, diciassette anni dopo.

Questo per dire che puoi avere le più valide potenzialità del mondo, puoi avvalerti della squadra più efficiente, ma per diventare presidente di una federcalcio ce ne vuole. Il nome importante (in tal caso, se proprio deve essere, meglio Del Piero) va bene ma non basta. Il calcio italiano, in materia, ha prodotto fin qui Albertini, che ha cominciato da vicecommisario di Guido Rossi nella terremotata Federcalcio dell’estate 2006. Il solo ex, per essere chiari, ad avere acquisito sul campo i «requisiti» insieme a Dino Zoff. Che però di anni ne ha 72. Uno in più del famigerato Tavecchio.

Il fatto che l’ex calciatore sia visto male da una parte importante dell’elettorato che l’11 agosto dovrà pronunciarsi poggia inoltre su un’altra questione: la legge Melandri ha giustamente introdotto le figure degli atleti e dei tecnici nei governi delle Federazioni, ma come elemento di contrappeso rispetto al potere dominante delle società, rimasto peraltro tale (70% contro 30%, 68% nel calcio perché il 2% è finito agli arbitri). E l’Italia, con la sua benemerita Aic unica in Europa come peso specifico politico, è il Paese col sindacato più forte, ma che pur sempre sindacato (e dunque controparte) resta. Albertini presidente per molti oggi significa Aic alla guida del calcio italiano. Non facile da digerire.

Una seconda convinzione di Agnelli, meno esternata pubblicamente, è che i guai del calcio italiano nascano prevalentemente dalla mala gestione dell’area dilettantistica. E’ lì, secondo il presidente della Juventus, che dovrebbero fiorire i vivai, la nascita e la crescita del calciatore italiano. Su questo, in tutta franchezza, nutriamo qualche perplessità ma senza poterci avvalere di prove inconfutabili. Restiamo semplicemente dell’idea che scuole calcio, settori giovanili e scolastici, cura e crescita del calciatore italiano siano mission che riguardano tutti, a cominciare dalle aree che hanno le maggiori disponibilità finanziarie. Competono più alla Serie A e meno ai Dilettanti, insomma. E infatti la Juve, più avanti di tutti, ha inventato il suo bel «liceo».

Concludiamo con una convinzione. Che la partita Figc debba essere giocata sui programmi. Programmi concreti, s’intende, non parole. Per Palazzo di vetro, quattro priorità:

  1. Riforma dei campionati, massimo 76 società professionistiche, meglio ancora 70.
  2. Leggi protezionistiche per fermare l’invasione indiscriminata di stranieri (il volgarotto Macalli quando dice che il 90% degli stranieri importati in Italia sono pippe esagera ma non ha tutti i torti).
  3. Una legge sullo ius soli, tipo Germania.
  4. Dalla serie B in giù, obbligatorio l’utilizzo dei giovani secondo parametri da definire.

E’ più facile lo riesca a fare Albertini o Tavecchio? Ai posteri l’ardua sentenza.

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Police probe Fifa

over $100m scam

Search for black market ticket supplier

by ANDREW JENNINGS, JON UNGOED-THOMAS & MANUELA ANDREONI (THE SUNDAY TIMES 13-07-2014)

A brazilian prosecutor who has exposed a $100m (£58m) ticket racket at the World Cup says he will open a wide-ranging international investigation this week that will examine Fifa’s role in the scandal.

Marcos Kac, the prosecutor in the inquiry, said he would enlist the help of Interpol and foreign police forces to investigate the source of the tens of thousands of tournament tickets that were sold on the black market.

It is likely to be one of the biggest criminal investigations yet into the illegal sale of World Cup tickets. It comes after a series of scandals that have embroiled Fifa, most recently the £3m in bribes exposed by The Sunday Times that were made by a disgraced Fifa executive committee member in support of Qatar’s bid to host the 2022 World Cup.

Kac said yesterday that he wanted to identify the original source of the tickets and start fresh inquiries into tax evasion and money laundering.

He added: “This next part of the investigation will be huge. We will need the assistance of foreign police and Interpol. We are going to get to the bottom of it and everybody involved.”

Detectives want to establish if any Fifa officials were aware of the black market deals. Police have already said they consider “someone from Fifa” and “an intermediary” from Match Hospitality, Fifa’s official hospitality package partner, had channelled tickets into the black market.

Fifa has said it takes a strong stance against ticket touts and will co-operate with any police investigation.

The Sunday Times has been told that police have 22,000 hours of telephone intercepts, which include calls between an alleged ringleader of the black market racket and Zurich, the location of Fifa’s headquarters. The calls have not yet been listened to.

Kac said he also wants to examine the roles of the directors of Match Hospitality, Jaime and Enrique Byrom. They are Mexican brothers whose company, Byrom, is based in Cheadle, Cheshire.

The official ticket agent at the centre of the initial investigation, Ray Whelan, who works for Match, was bugged in Brazil by police negotiating a $600,000 cash deal with a ticket tout. Brazilian police say Whelan is on the run, but he could face 10 years in jail if the charges are proved. Match says the charges against Whelan are baseless and that he is not a fugitive but is consulting his lawyer over an “illegal arrest”.

Fifa will now face questions over its appointment of Match as an official partner. In other World Cups, tickets from the company are known to have ended up on the black market but it has still retained its role.

Whelan, 64, was arrested on Monday night at the Copacabana Palace hotel in Rio de Janeiro. He was released on bail the following day but police say he fled when they went to rearrest him on Thursday evening. They found his fifthfloor room deserted, with the television left on, open suitcases and a pair of flip-flops on the floor.

It is alleged by police that Whelan had been a key ticket supplier for Mohamadou Lamine Fofana, a French-Algerian businessman.

Fofana is a charismatic man who has been photographed with public figures and celebrities, including Pele, Elizabeth Taylor, Sylvester Stallone and Jack Nicholson.

Whelan and Fofana are among 12 suspects who have been arrested and who are being investigated for the illegal sale of tickets, money laundering and criminal conspiracy. Investigators will now examine the phone calls that Fofana made to Zurich.

In one call on June 13 between Whelan and Fofana in Brazil, the two men discussed a cash deal for 24 tickets being sold for about $25,000 each.

Investigation documents state the evidence indicated that Whelan knew that tickets he provided would be “resold through third parties and for circulation in the black market”.

Police have now filed charges in the initial inquiry into Whelan, Fofana and 10 other individuals.

Kac said a wide-ranging investigation would be launched to examine the original source of the tickets, as well as tax evasion and money-laundering offences.

There were about 3m tickets for the World Cup, with 445,000 allocated to Match Hospitality. Match has been providing official Fifa services since 1994.

Philippe Blatter, the nephew of the Fifa president, Sepp Blatter, is chief executive of Infront Sports & Media, which owns a 5% stake in Match Hospitality.

Match has previously faced questions over how some of its tickets have been sold on the black market. In 2006 companies operated by the Byrom brothers supplied more than 5,000 tickets to Jack Warner, the former Fifa vice-president. It later emerged that Warner had sold some of the tickets on the black market.

In 2010 the brothers agreed to provide more tickets for Warner but the deal collapsed because of a lack of interest. No action was taken but Warner was subsequently forced out of Fifa on separate corruption allegations.

Match said in a statement that Whelan’s arrest had been “arbitrary and illegal” and police had failed to understand how the hospitality ticketing system worked. It said he was selling the tickets at the correct price, but had not been informed that Match had blocked sales to Fofana.

Fifa said it was confident a full inquiry would find no wrongdoing by Byrom. It said that “an assessment of all facts and underlying business concepts will exonerate the staff and principals of Byrom”.

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È finita per i Mondiali

di JOHN LANCHESTER (LRB 19-06-2014 - trad.Internazionale n.1059)

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I bambini di tutte le età e di tutti i sessi aspettano sempre i Mondiali di calcio con impazienza. Nessuno, però, li aspetta più dei bambini veri. Io li aspetto con impazienza dall’edizione del 1970, che per me resta la migliore. La cosa che mi ricordo meglio, a parte lo spettacolo e l’emozione, è lo sgomento al pensiero che avrei avuto dodici anni quando sarebbe arrivata l’edizione successiva. Com’era possibile che dovessero passare quattro anni? Neanche gli adulti potevano essere tanto stupidi e incoscienti da costringere il mondo ad aspettare quattro anni per una cosa così bella. Quattro anni. Era letteralmente un’eternità. Mi ricordo che calcolavo nella mia testa le date dei futuri appuntamenti: 1974, 1978, 1982, 1986, 1990. La sequenza si prolungava per un tempo inconcepibile. Era fantastico che ci fosse qualcosa da aspettare con impazienza, ma era proprio necessario aspettare così tanto?

Naturalmente, quando s’invecchia quattro anni cominciano a somigliare sempre di più a quattro minuti. I Mondiali smettono di correre in avanti e si accumulano all’indietro, e gli intervalli fra l’uno e l’altro sembrano restringersi sempre di più man mano che passa il tempo. Quando è stato che l’Inghilterra ha buttato nel cesso un vantaggio di un gol e di un uomo contro il Brasile? E quella in cui Beckham è stato cacciato fuori, era la stessa o quella prima? E quella in cui i giocatori strapagati, strapompati e puntualmente deludenti della cosiddetta golden generation inglese hanno puntualmente deluso era il 2002, il 2006 o il 2010? No, aspetta, questa è facile: erano tutte e tre.

I Mondiali del 2002 in Giappone e Corea del Sud, con il senno di poi, sono stati quelli in cui tutto è finito. Almeno per me. Non per il risultato dell’Inghilterra che, come al solito, era stato tragicomico (anche se la mia storia preferita sull’Inghilterra rimane quella degli Europei 1996, quando alcuni dei nostri superatleti, alla vigilia del “torneo più importante della loro vita”, furono fotografati mentre facevano le ore piccole trangugiando cocktail Flaming Lamborghini in un bar. Bei tempi). No, la cosa che per me ha fatto finire tutto sono stati gli arbitraggi.

Qui bisogna fare molta attenzione. Le leggi sulla diffamazione sembrano appositamente studiate per impedire a una persona di dire la verità, o la sua versione della verità, sui Mondiali e sulla Fifa, la federazione internazionale che li gestisce. Basterà dire che nel 2002 in campo sono successe cose alquanto sospette. Mi ricordo che all’epoca dicevo che i Mondiali erano un evento troppo sotto gli occhi di tutti perché gli arbitri potessero essere corrotti. La luce del sole è il miglior disinfettante, e le partite dei Mondiali sono sempre molto illuminate. Dicevo addirittura che gli errori in partite come quella in cui l’Italia aveva perso con la Corea del Sud (dove i coreani avevano avuto favori sfacciati) erano in buona fede.

Col senno di poi, è buffo che io abbia potuto pensare una cosa del genere. L’arbitro di quella partita, l’ecuadoriano Byron Moreno, fu sospeso l’anno dopo per aver dato 13 minuti di recupero in una partita di campionato del suo paese. La squadra di casa vinse dopo aver pareggiato al 99° minuto ed essere andata in vantaggio al 101°. Moreno si ritirò poco tempo dopo. Ma è difficile tarpare le ali a uno spirito intraprendente, e così lui ha cominciato una nuova carriera come corriere della droga. Nel 2010 è stato arrestato all’aeroporto a New York con sei chili di eroina e ha passato 26 mesi in galera. E il suo non era stato nemmeno il peggior arbitraggio dei Mondiali del 2002.

Anche qui, sforzandosi, si può vedere il lato divertente. Arbitri scarsi, comicità involontaria, capigliature orrende, nomi esotici e vuvuzelas: fa tutto parte del baraccone dei Mondiali. Senza contare che il gioco più bello del mondo sta diventando sempre più bello. A differenza di altri sport, dove i progressi atletici hanno portato a privilegiare sempre di più la potenza a scapito della tecnica (penso al rugby, ovviamente), nel calcio i giocatori sono diventati ancora più veloci e tecnici, e il gioco è migliorato. Ai massimi livelli la tecnica e la velocità sono strabilianti. Alcuni ritocchi al regolamento, soprattutto alla regola del fuorigioco, hanno reso il calcio più offensivo e molto più gradevole. Fin qui tutto bene. Purtroppo però l’organizzazione che gestisce il gioco ai massimi livelli internazionali è fondamentalmente marcia. La cosa che ha ucciso il romanticismo dei Mondiali può essere riassunta in una parola: Qatar.

Che la Fifa sia un’organizzazione corrotta è un pensiero condiviso da quasi tutti. È una cosa importante, perché la Fifa ha il pieno controllo e la titolarità delle principali manifestazioni calcistiche internazionali. Grazie ai Mondiali di quest’anno l’organizzazione intascherà circa quattro miliardi di dollari. Con la decisione di assegnare i Mondiali del 2022 al Qatar, questa corruzione al centro del gioco più popolare del mondo è diventata impossibile da ignorare. Il Sunday Times ha fatto una meritoria inchiesta sulle tangenti e gli episodi di corruzione che hanno circondato la candidatura del Qatar, dimostrando come è stata presa questa decisione vergognosa. Non ha senso organizzare un torneo estivo di uno sport ad alto contenuto aerobico in un paese dove la temperatura raggiunge i 50 gradi all’ombra, un paese senza una storia calcistica, senza infrastrutture e con una popolazione minuscola. Ha ancora meno senso se si considera qual è il paese uscito sconfitto dalla gara: gli Stati Uniti. Si potrebbe quasi – quasi – aggiungere questa decisione al calderone delle cose grottesche che circondano i Mondiali, se non fosse che già centinaia di lavoratori immigrati sono morti durante i lavori di costruzione degli stadi in Qatar. La stima aggiornata delle vittime è della Confederazione sindacale internazionale: 1.200 operai indiani, nepalesi e bengalesi. La previsione per il 2022 è di quattromila vittime. Questo orrore è una diretta conseguenza della decisione di assegnare i Mondiali al Qatar. Non c’è razionalizzazione, giustificazione, scusa o spiegazione che tenga. L’unica cosa certa è che centinaia di poveri diavoli muoiono perché il processo di assegnazione della Fifa è corrotto.

Forse un giorno ci riprenderemo il calcio togliendolo ai governi e i Mondiali torneranno a essere un evento che i bambini potranno aspettare con impazienza, non importa quanti anni avranno e quanti Mondiali si ricorderanno. Nel frattempo io mi ritiro. Il Comitato olimpico internazionale un tempo era in una condizione molto simile a quella della Fifa, finché il gigantesco scandalo delle Olimpiadi invernali del 2002 a Salt Lake City (scoppiato in un paese con severe leggi anticorruzione) lo ha costretto a fare pulizia. Speriamo che il Qatar diventi la Salt Lake City della Fifa.

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FLOP ITALIA, DANNO ANCHE ECONOMICO

di MARIO DEAGLIO (LA STAMPA 13-07-2014)

Nelle nostre città la prossima notte sarà una normale notte d’estate. Di sicuro,non ci sarà alcuno sventolio di bandiere, né corteo d’auto che percorra a clacson spiegati le vie principali, nessun «botto» e nessun brindisi a coronare il sogno di milioni di tifosi di un’Italia che vince ancora una volta i Mondiali di calcio.

Si potrebbe osservare che i tifosi vivono di sogni e i sogni infranti sono un fatto quasi normale. Il particolare sogno infranto di questi Mondiali sembra, però, diverso: pare accompagnarsi alla fine di un’epoca nella storia del calcio italiano, sottolineata dalle dimissioni immediate del commissario tecnico, Cesare Prandelli, e del presidente della Figc, Giancarlo Abete dopo le sconfitte con la Costa Rica e l’Uruguay. Apre un discorso sul futuro del calcio, e più in generale dello sport, in Italia nel momento in cui nell’economia e nell’intera società italiana è diffusa la sensazione della necessità di cambiamenti profondi.

Non c’è dubbio che l’Italia sia uno dei paesi più «sportivi» al mondo e che il calcio sia di gran lunga lo sport più seguito, una parte importante del «sistema Italia», troppo importante per essere lasciata ai soli tifosi e ai soli addetti ai lavori. Il «partito degli sportivi» è sicuramente più numeroso di qualsiasi partito politico e proprio per questo il mondo politico è da sempre più attento alle esigenze dello sport che a quelle di altri settori potenzialmente più importanti per lo sviluppo futuro, come la ricerca scientifica. Complessivamente le attrezzature sportive non vanno in pezzi, le attrezzature scolastiche sicuramente sì, al punto di richiedere una legge apposita per le manutenzioni straordinarie.

Secondo un’indagine Istat relativa al 2012, oltre 12 milioni di italiani sopra i tre anni pratica attività sportive in forma continuativa, in aumento leggero, solo moderatamente frenato dalla crisi, rispetto all’inizio del secolo. I tre quarti degli interessati dichiarano di esserne «molto» o «abbastanza» soddisfatti. Di questi, oltre 8 milioni e mezzo fanno sport in luoghi a pagamento. I nuovi dati, che Istat e Coni, presenteranno congiuntamente giovedì, non cambieranno questo quadro.

La «produzione» di sport avviene attraverso milioni di persone, che se ne occupano spesso a tempo parziale e talora a titolo gratuito. Lo sport è economicamente rilevante per un amplissimo ventaglio di settori, dall’informazione alla fabbricazione di articoli sportivi, dalla formazione degli atleti alla vendita dei biglietti di accesso agli stadi, dalle scommesse – legali e non – al turismo sportivo. A questo va aggiunto il «consumo passivo» di sport, ossia la fruizione di spettacoli sportivi degli spettatori negli stadi e nelle altre manifestazioni, oppure attraverso mezzi di comunicazione che vanno dai giornali alla televisione, a pagamento oppure finanziati mediante la pubblicità. Arriviamo così intorno alla metà degli italiani. Il peso economico dello sport si presenta al tempo stesso ingente e sfuggente ma sicuramente importante.

E’ precisamente la sua importanza a far sì che qualsiasi progetto sul futuro del Paese richieda anche di porre obiettivi realistici – ossia con i vincoli dei conti e non solo con l’entusiasmo dei tifosi – alle dimensioni del fenomeno sportivo italiano in un tempo medio-lungo. Quando «grandi» potranno essere, come dovranno essere strutturati calcio, automobilismo, sci, nuoto e quant’altro nel giro di 10-20 anni, in un mondo in cui verosimilmente le competizioni saranno sempre più internazionali e coinvolgeranno un numero sempre maggiore di Paesi?

Un’analisi sommaria sembra indicare che, come molte altre attività produttive italiane, la produzione sportiva non venga realizzata all’insegna dell’efficienza, comunque questa sia misurata: molti Paesi nei quali lo sport attrae minori risorse, in termini assoluti e relativi, ottengono complessivamente risultati simili o migliori di quelli italiani, come hanno mostrato anche i Mondiali che stanno per concludersi. Dopo l’eliminazione dell’Italia dai Mondiali, qualsiasi riflessione su questo settore deve essere condotta alla luce dell’efficienza da ritrovare, giocata in tempi lunghi.

Lo sport ha attirato una grandissima quantità di investimenti pubblici e privati e, non foss’altro che per le sue dimensioni, non può sottrarsi a un’impietosa ridiscussione delle spese di investimento e funzionamento: non è possibile largheggiare sugli stadi e tagliare sulla sanità. Occorre, come in molte altre attività pubbliche, aumentare la produttività della spesa nel momento stesso in cui probabilmente bisogna fare i conti con un ridimensionamento della spesa pubblica anche in questo settore.

In queste condizioni che tipo di sport vogliamo? Come sarà possibile continuare a fare dello sport, e in particolare del calcio, una parte vitale dell’economia oltre che della cultura del paese? Ha senso «esportare» allenatori (sono 18 quelli italiani che allenano squadre straniere) e «importare» giocatori? Oppure bisognerebbe, in questo come in altri settori, occuparsi più dei giovani e meno delle star? Quanto spazio e quale ruolo devono avere le «tifoserie» organizzate delle diverse squadre? Quanto devono essere pagati giocatori e tecnici? Quale deve essere il carico fiscale del calcio? L’analisi economica può porre domande di questo tipo ma la parola deve passare subito alle forze politiche che propongono agli italiani le linee-guida per il Paese e – perché no? – ai milioni di italiani competenti in materia, compresi moltissimi lettori di questo giornale.

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Il Sole 24ORE 14-07-2014

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Quale squadra di Torino sarà la protagonista di questo precedente?

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Seeking Soccer Respect,

Qatar Looked Abroad

by STEVE EDER, SAM BORDEN, CHRISTOPHER HARRESS & JACK WILLIAMS (NY TIMES.com 14-07-2014)

A Qatari Soccer Program Looking

to Rise Buys a Foothold in Europe

by SAM BORDEN, STEVE EDER, JACK WILLIAMS & CHRISTOPHER HARRESS (NY TIMES.com 15-07-2014)

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Juventus.com 16-07-2014

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Congratulazioni!

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Inviato (modificato)

Congratulazioni!

Congratulazioni sincere per la scelta di Allegri come allenatore, che ve' possino!

Modificato da ClaudioGentile

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bbbbbonnnniiiii

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